Article du scooter de Francisco
Publié : 16 sept. 2009 18:17
Compléments de Francisco à l'article paru dans "Moto et Scooter n°34, Mai/Juin 97, pages 34 et 35 ".
Historique de l'article : en 1996, j'avais envoyé un texte d'annonce + photo à cette revue pour vendre mon scooter (que je n'utilisais pas, dont je j'avais pas le temps de m'occuper, et qui m'encombrait). Trouvant que l'aspect général était très bon, la revue m'avait envoyé un journaliste pour faire des photos en vue d'un article. J'avais eu quelques touches téléphoniques ensuite mais j'avais décidé de conserver le scooter, au moins un peu plus.
Une erreur dans l'article : il y avait eu une erreur dans les circonstances rapportées de l'achat du scooter. Il n’avait pas utilisé pendant 2 ans avant d’être emmené en Argentine, mais il avait été acheté neuf (5kms au compteur) en Mars 1967 [date de 1ère mise en circulation : 18/03/1967]. Les 2 années en question ont été celles que le scooter avait roulé sur le sol argentin. Le journaliste n'avait pas pris bonne note.
Pourquoi ce scooter? : incorporé début Mars 1967 et mis en congés dans mon foyer en instance de départ pour l'Argentine où j'allais être en Coopération pour presque 2 ans, j'avais pensé que, pour de petits déplacements, il serait préférable d’emmener un scooter plutôt qu'une voiture. Ce scooter, à l’état neuf (invendu) avait été déniché dans une petite boutique d'un village breton. Le scooter n'était pas remisé au fond de l'atelier (autre erreur du journaliste) mais bien dans la boutique elle-même (petite) dont il occupait à peu près le 1/3 de la surface au sol. Ici, à cette époque, le scooter n’était plus à la mode, de telle sorte que le commerçant cherchait à s’en débarrasser, même au prix d’un bon rabais.
Envoi et retour du scooter : Mis dans une caisse en bois, le scooter fut expédié par voie maritime vers Buenos Aires. Il permit de faire de là-bas de l’ordre de 1200kms (sans aucun problème technique) dans la campagne, et de voir ainsi des détails que sans lui je n’aurai jamais vus. De retour en France il fut remisé bien au sec jusqu’aux années 1990 et donc de la tentative de sa mise en vente qui avait motivé l’article paru dans Moto et Scooter en 1997.
Historique de l'article : en 1996, j'avais envoyé un texte d'annonce + photo à cette revue pour vendre mon scooter (que je n'utilisais pas, dont je j'avais pas le temps de m'occuper, et qui m'encombrait). Trouvant que l'aspect général était très bon, la revue m'avait envoyé un journaliste pour faire des photos en vue d'un article. J'avais eu quelques touches téléphoniques ensuite mais j'avais décidé de conserver le scooter, au moins un peu plus.
Une erreur dans l'article : il y avait eu une erreur dans les circonstances rapportées de l'achat du scooter. Il n’avait pas utilisé pendant 2 ans avant d’être emmené en Argentine, mais il avait été acheté neuf (5kms au compteur) en Mars 1967 [date de 1ère mise en circulation : 18/03/1967]. Les 2 années en question ont été celles que le scooter avait roulé sur le sol argentin. Le journaliste n'avait pas pris bonne note.
Pourquoi ce scooter? : incorporé début Mars 1967 et mis en congés dans mon foyer en instance de départ pour l'Argentine où j'allais être en Coopération pour presque 2 ans, j'avais pensé que, pour de petits déplacements, il serait préférable d’emmener un scooter plutôt qu'une voiture. Ce scooter, à l’état neuf (invendu) avait été déniché dans une petite boutique d'un village breton. Le scooter n'était pas remisé au fond de l'atelier (autre erreur du journaliste) mais bien dans la boutique elle-même (petite) dont il occupait à peu près le 1/3 de la surface au sol. Ici, à cette époque, le scooter n’était plus à la mode, de telle sorte que le commerçant cherchait à s’en débarrasser, même au prix d’un bon rabais.
Envoi et retour du scooter : Mis dans une caisse en bois, le scooter fut expédié par voie maritime vers Buenos Aires. Il permit de faire de là-bas de l’ordre de 1200kms (sans aucun problème technique) dans la campagne, et de voir ainsi des détails que sans lui je n’aurai jamais vus. De retour en France il fut remisé bien au sec jusqu’aux années 1990 et donc de la tentative de sa mise en vente qui avait motivé l’article paru dans Moto et Scooter en 1997.