Re: PIECES CARROSSERIE
Publié : 21 févr. 2014 11:35
Désolé. Ce n'était pas pour vous blesser, Jean Claude, mais pour rendre service à la communauté des Mobystes. Je connais le sujet de l'électrolyse puisque c'était le domaine de ma carrière professionnelle. Un connaisseur du domaine ne préconiserait pas ce que vous pratiquez. Ici la pièce est , de plus, de forme très particulière, et c'est peu dire.
C'est vrai, l'électrolyse peut permettre de décoller l'oxyde de fer des surfaces (je l'ai expérimenté moi-même) mais les opérations sont longues. Pour pouvoir l'expérimenter dans le cas d'un réservoir de Moby, le réservoir étant donc la cathode, il faudrait que l'anode (donc la contre-élecrode) soit en "regard" de "toute" la surface intérieure du réservoir. Pour le tube vertical, pas de problème, et c'est ce que vous expérimentez positivement. Mais pour le reste, avez-vous une idée de la forme de la contre-électrode? Bonjour les dégats pour celui qui reposerait le dérouillage de l'intérieur de son réservoir sur cette méthode et y croirait.
L'application de l'électrolyse se complique lorsque les surfaces sont complexes. Ceci peut se confirmer auprès d'un galvanoplaste industriel. N'y-a-t'il pas, parmi les lecteurs du forum, quelqu'un qui qui saurait de la distribution primaire du courant entre deux électrodes et pourrait être d'accord avec moi?
Pour dérouiller efficacement un réservoir, il y a des méthodes sures : d'abord le grenaillage (pour arracher l'oxyde), l'acide chlorhydrique du commerce pour enlever ce qui n'a pas pu être arraché [sans avoir à en remplir le réservoir, bien sûr] (l'acide chlorhydrique mange la rouille mais n'attaque pas le fer) [mais ATTENTION, c'est comme pour l'électrolyse, il faut connaître son usage pour l'utiliser, car en plus ici c'est dangereux ], phosphatation à l'acide phosphorique [ce que quelqu'un, sur le Forum, préconise avec raison]. Ces opérations (menées avec soin et protections) doivent s'alterner, bien sûr, avec des rinçages fréquents à l'eau et des dégraissages à l'acétone. La surface intérieure du réservoir ainsi traitée sera parfaite (et traitée partout) pour un recrouvrement type Restom ou pour être utilisée telle qu'elle est.
C'est vrai, l'électrolyse peut permettre de décoller l'oxyde de fer des surfaces (je l'ai expérimenté moi-même) mais les opérations sont longues. Pour pouvoir l'expérimenter dans le cas d'un réservoir de Moby, le réservoir étant donc la cathode, il faudrait que l'anode (donc la contre-élecrode) soit en "regard" de "toute" la surface intérieure du réservoir. Pour le tube vertical, pas de problème, et c'est ce que vous expérimentez positivement. Mais pour le reste, avez-vous une idée de la forme de la contre-électrode? Bonjour les dégats pour celui qui reposerait le dérouillage de l'intérieur de son réservoir sur cette méthode et y croirait.
L'application de l'électrolyse se complique lorsque les surfaces sont complexes. Ceci peut se confirmer auprès d'un galvanoplaste industriel. N'y-a-t'il pas, parmi les lecteurs du forum, quelqu'un qui qui saurait de la distribution primaire du courant entre deux électrodes et pourrait être d'accord avec moi?
Pour dérouiller efficacement un réservoir, il y a des méthodes sures : d'abord le grenaillage (pour arracher l'oxyde), l'acide chlorhydrique du commerce pour enlever ce qui n'a pas pu être arraché [sans avoir à en remplir le réservoir, bien sûr] (l'acide chlorhydrique mange la rouille mais n'attaque pas le fer) [mais ATTENTION, c'est comme pour l'électrolyse, il faut connaître son usage pour l'utiliser, car en plus ici c'est dangereux ], phosphatation à l'acide phosphorique [ce que quelqu'un, sur le Forum, préconise avec raison]. Ces opérations (menées avec soin et protections) doivent s'alterner, bien sûr, avec des rinçages fréquents à l'eau et des dégraissages à l'acétone. La surface intérieure du réservoir ainsi traitée sera parfaite (et traitée partout) pour un recrouvrement type Restom ou pour être utilisée telle qu'elle est.